🥋 Comment Ne Plus Être Un Bouc Émissaire

Ilsne risquent rien car une personne est déjà désignée et porte tous les stigmates. C’est le bouc émissaire ! Le bashing : une triple articulation en psychanalyse. Le bashing réunit à lui seul trois thèmes qui sont le harcèlement, les comportements d’un individu pris dans un groupe, et la notion de bouc émissaire. Le harcèlement COMMENTDEVIENT ON BOUC EMISSAIRE : Le bouc émissaire n’est pas à l’origine un être faible, mais du fait de l’acharnement collectif, il se trouve affaibli et dans l’incapacité de se Construirel'estime de soi et se concentrer sur des traits positifs que votre famille n'a jamais mis en évidence vous donnera la force de faire face à un environnement toxique. Cela Lemécanisme dit du « bouc émissaire » , généralisé dans les origines de toutes les sociétés connues, est encore à l’œuvre de nos jours, sous des formes plus dissimulées et Lathéorie la plus connue aujourd'hui à ce sujet est celle de René Girard, développée dans La violence et le sacré (1971). Selon lui, le phénomène du bouc émissaire survient lorsqu'une Justice33 : le trouble mental ne doit plus être le bouc émissaire de la violence Les personnes handicapées en général sont 2,5 fois plus susceptibles d'être victimes d'un crime violent Accèsplus rapide que le navigateur! Bouc émissaire ''The Scapegoat'' (''Le Bouc émissaire''), tableau de William Holman Hunt, 1854-1856 Un bouc émissaire est un individu, un groupe, une organisation, etc., choisi(e) pour endosser une responsabilité ou une faute pour laquelle il/elle est, totalement ou partiellement, innocent(e). 91 relations: Abel Pann, Affaire Dreyfus, Agnus Dei Laprojection mentale (stratégie du bouc émissaire) mais elle aura peut-être le mérite de vous donner un aperçu de ce qu’est une personne toxique, et comment la combattre. Plus une telle personne aura de prise sur L'opticien ne doit plus être un bouc émissaire" vendredi, 16 août 2013 C'est le Un point de vue qui se veut une nouvelle fois offensif. D'emblée le directeur général de Krys nVbQ. Plus je lis René Girard et plus je trouve que sa vision colle à notre monde. En très simplifié sa thèse fondamentale est que les groupes humains gèrent leur violence naturelle, inévitable, nécessaire à la survie, par le recours à un objet qui sert d’exutoire le bouc émissaire. Cette notion de bouc émissaire est issue de la tradition juive. Le bouc est supposé porter sur lui tous les péchés d’Israël, et sa mise à banc produit un effet d'expiation, ou d’attribution du bien à ceux qui le condamnent. Quand une foule hostile rejette un membre de sa communauté ou une communauté entière, cela signifie que cette foule s’attribue le bien et projette sur le membre rejeté le mal. En rejetant le mal », on se place automatiquement du côté du bien ». Le bouc émissaire est quelqu’un à qui une communauté attribue la cause du mal. On rejette sur lui nos erreurs ou nos insuffisances et on lui en fait porter la responsabilité. Il est tellement plus simple, pour se sentir pur, de déclarer les autres impurs. Les juifs ont été collectivement le bouc émissaire des sociétés européennes pendant des siècles. Le bouc émissaire doit payer, et en général il paie de sa vie, qu'il soit coupable ou innocent. C’est la méthode la plus sûre pour éliminer toute contestation de son rôle de méchant », et pour éviter d’être soi-même mis en cause dans notre rôle de gentils » ou de purs ». Peut importe de sacrifier un innocent. Un coupable est d'ailleurs en partie innocent il n'est coupable que parce que nous avons des failles, mais il est innocent de nos failles. Il n'est de voir que le désir d'aggravation des lois répressives après chaque crime sexuel ou crime commis contre des enfants, et les marches blanches organisées dans ce dernier cas. Blanches comme la pureté que nous voulons nous-mêmes endosser pour colmater nos failles et dire bien haut "Non, nous nous dédouanons de ce crime", laissant l'entièreté de la noirceur aux criminels. Il n'y a guère que pour certains infanticides maternels que la communauté dédouane la coupable, inventant une maladie de "déni de grossesse". Cette maladie réduit la responsabilité et donc l'horreur du crime, comme si la fonction maternelle devait être préservée qui qu'il advienne de l'opprobre du "mal". Quelqu'un fait le mal tue mais ce n'est pas de notre faute. L'auteure du crime ne peut donc servir de bouc émissaire. Une communauté peut fabriquer des coupables. Sacrifier un vrai coupable n’a qu'une fonction libératrice limitée, car après tout c’est normal. Mais fabriquer un coupable dans le but de lui attribuer l'origine de nos maux active puissamment le moteur de l’expiation qui nous valide dans l'hypothèse que nous sommes portés par le "bien". Hitler l'avait bien compris. Plutôt que de laisser une société être dévorée par sa violence, violence qui peut se tourner contre elle-même la criminalité n'étant qu'une des formes de désir frustré qui génère une violence anti-sociale, il est plus économique de diriger la violence vers un objet et de trouver un responsable qui endosse le mauvais rôle et assume la punition. Une origine de cette violence, selon Girard, est le désir mimétique, c’est-à-dire le fait vouloir ressembler à l'autre ou à défaut de désirer ce que l’autre possède et de s’en approprier pour être semblable à lui. Si votre voisin possède une voiture alors que vous n’avez qu’un scooter, l’envie de la voiture viendra très probablement. La grosseur de la voiture étant ensuite un signe de reconnaissance sociale, de puissance, et donc objet de désir et désir de ressemblance qui ne préfère pas être puissant et autonome plutôt que faible et dépendant ?. L’envie a un autre nom l’admiration. Dans l’admiration on attribue à l’autre des qualités d’être que l’on ne se sent pas posséder. Un chef de guerre provoque l’admiration par un fait d’arme plein de bravoure. Un Gandhi provoque aussi l'admiration par son engagement et sa philosophie. Ce faisant il prennent une forme d’ascendant sur ceux qui les admirent. Il sont des modèles à atteindre. Mais on ne peut pas être » l’autre. L’admiration suppose presque inévitablement une forme d'impuissance personnelle en comparaison du modèle. Elle s’oriente alors vers l’envie de posséder les mêmes biens que lui. Quand c’est impossible l’admiration se transforme en haine, et l’on trouve peu à peu à l’idole des défauts qui en font un être méprisable. On lui attribue aussi nos propres malheurs. Le puissant n’est aimé que quand on peut l’utiliser pour se protéger, pour lui ressembler ou quand il nous gratifie d’un peu de sa puissance. Quand il ne nous gratifie plus assez de ses largesses argent, considération, amitié il devient un ennemi. Le bouc émissaire se recrute principalement parmi les gens que l’on a admirés ou enviés. Notre impuissance à être eux en fait peu à peu des adversaires. Le modèle que l'on admire est forcément un jour un obstacle, à moins de perdre sa qualité de modèle. Mais s’il perd sa qualité de modèle il ne mérite plus notre admiration, et notre moteur de l'envie ne se met pas en route. Quel que soit le besoin que certains peuvent avoir d’être un héros besoin de reconnaissance, de se prouver sa valeur, de revanche, de coller à un mythe, d'obtenir du pouvoir, etc, ils ont tout pour devenir des boucs émissaires s’ils persistent à alimenter ce besoin. Certains espèrent s'affarnchir du sort peu enviable du bouc et demeurer à jamais objets d'admiration et détenteurs de puissance. Mais être un bouc émissaire et réussir à démonter le mécanisme de victimation n’est pas si facile. Le mythe s’y oppose. Or la victime innocente rejoint le mythe et s'en alimente en même temps qu'elle l'alimente. Le mythe nous dépossède de nous-mêmes. Quel pouvoir avons-nous alors sur notre propre destin ? Où est notre liberté dans ce processus ? On peut bien sûr éviter de devenir bouc émissaire. Mais d'une part cela se passe malgré nous, et d'autre part si l'on y parvenait, aux prix de quelles contorsions et compromissions faudrait-il le payer ? Dans le christianisme, le personnage de Jésus est typique du mécanisme mimétique et victimaire décrit par René Girard. Il devient bouc émissaire mais en survivant à la crucifixion selon la croyance chrétienne il défait le mythe, qui ne peut s’accomplir normalement. La victime rejetée devient le guide d’un nouveau comportement, où l’expiation collective grâce au bouc émissaire ne fonctionne plus. Pourtant notre société produit encore des boucs émissaires. Mais elle développe simultanément, et de manière inverse, un culte de la victime, cela peut-être depuis que Jésus, "l'agneau de Dieu", a fait de la victime sacrificielle un accablement pour le monde et non plus une catharsis ou une possibilité d'expiation et de libération. Ce culte n’est que l’envers du binôme bourreau-victime. La simultanéité des deux productions conduit à une confusion majeure des valeurs, dont notre époque est représentative. On pourrait presque dire que malgré la régression de l'influence de la religion, notre époque est plus chrétienne que jamais. Les puissants d’aujourd’hui sont toujours admirés, toujours détestés, toujours jalousés. Mais s’ils deviennent victimes ils induisent la production de nouveaux puissants car nulle société ne peut fonctionner sur les traces de la victime. Etre victime ne peut être qu’un statut temporaire, pas une norme générale. Un autre aspect de ce désir de ressemblance, ce désir mimétique, est qu’il fonctionne forcément avec une différence. La différence entre deux puissants est nécessaire pour que l’un envie ou admire l’autre. Les puissants pouvant être des chefs politiques comme des chefs d’ateliers ou un grand frère le même mécanisme se reproduit à tous niveaux. Si deux individus ont le même niveau de puissance ou de richesse, le moteur d’évolution de la société se grippe. L’indifférenciation sera tôt ou tard confrontée à une nouvelle violence à cause d'un nouveau désir car le désir est inhérent à l'humain dont on ne connaît pas la nature donc les ravages possibles. La différenciation est une condition de développement du vivant comme la différenciation sexuelle, pas exemple. Elle sert aussi à préserver un ordre social où la violence est canalisée. De la nécessaire différenciation à l'inégalité, le pas est souvent franchi, alors que les deux notions ne sont pourtant pas du même ordre. Mais l'indifférenciation est-elle viable socialement ? Une société égalitariste tiendrait-elle la longueur alors que les êtres sont différents en talents, capacités, désirs ? Et l'inégalité est-elle obligatoirement cause de domination et d'oppression ? La thèse de Girard semble laisser entendre qu’une société égalitaire produirait tôt ou tard une violence inconnue et par là incontrôlable. Dans l'indifférenciation, la dynamique si puissante du désir et de l’envie, qu’il rattache à la nature humaine, n’aurait plus de cadre pour s’exprimer. Mais, ayant identifié cette dynamique mimétique comme source de violence injuste le bouc émissaire, n'est-il pas souhaitable de la désamorcer ? Et si oui, comment ? Désamorcer cette dynamique suppose une démarche personnelle de soustraction au mécanisme de l’envie, de l’admiration, de la jalousie et du reproche. Commencer donc par refus d'admirer ou d'être admiré. Une telle démarche est-elle possible individuellement, sans une validation collective du constat d’épuisement du désir mimétique, de l'envie, et de l'inévitable jalousie qui s'en suit épuisement qui nécessite la présence de l'autre pour être réel et vérifiable ? S’il faut une validation collective, sur quelle base et dans quel cadre peut-elle se faire pour remplacer le rôle des religions, qui avaient cette fonction, mais aujourd’hui devenues obsolètes dans leurs rites et croyances cosmogoniques ? La réflexion sur les thèses de René Girard amène des clés à la fois dans la lecture de la société et dans la lecture de mon propre itinéraire. Ce qui me convient bien car je ne puis imaginer une transformation sociale sans que l'individu soit lui-même objet d'une transformation préalable. Je crois plus à la société formée par les individus regroupés et responsables de ce qui les habite qu'à l'individu formaté par la société et donc irresponsable. L'individu responsable n'est plus ni bourreau ni victime. Un chemin qui bouscule la plupart des rapports humains et des mécanismes relationnels. par Santiago Muzio, avocat inscrit aux Barreaux de Lyon et de Buenos-Aires et Edouard Husson, directeur de la rédaction du Courrier des Stratèges - Tandis que le Conseil d'Etat choisit sa propre insignifiance en acceptant finalement la marche en crabe du gouvernement vers l'obligation vaccinale, Emmanuel Macron et ses ministres empilent les mensonges les uns sur les autres. Et comme cela commençait à se voir, ils ont fabriqué un bouc-émissaire. Les non-vaccinés seraient les nouveaux pestiférés, responsables de la crise sanitaire, sociale, politique et morale que traverse le pays. Mais René Girard nous l'a appris le mécanisme du bouc émissaire ne fonctionne que si ce dernier est consentant. Et nous n'avons aucune intention de déclamer le rôle que le gouvernement a écrit pour nous ! Le Conseil d'Etat se condamne à l'insignifiance Autrefois, les pestiférés étaient tenus à l’écart des villes, souvent enfermés dans des léproseries. Pour en sortir, ils devaient porter des vêtements distinctifs et marcher en faisant du bruit avec leur crécelle. Ils étaient exclus de toute vie le même sort semble réservé à tous ceux qui refusent, pour une raison ou une autre, de se soumettre à l’obligation vaccinale, à peine déguisée, imposée par le gouvernement et validé, en sa totalité, par le Conseil d’Etat cf. CE, avis n° 26 déc. 2021, cons. n°10 “Sur la nécessité et la proportionnalité du passe vaccinal » en tant que tel Il relève que si l’impossibilité d’accéder à ces activités au bénéfice du seul résultat négatif d’un examen de dépistage virologique ne peut par elle-même se justifier par l’objectif de limiter le risque de transmission par la personne concernée, elle contribue en revanche à l’objectif énoncé précédemment de limiter le risque de voir la personne développer la maladie, y compris une forme sévère de celle-ci, ainsi qu’à l’objectif indirect d’incitation à la vaccination. Dans le contexte sanitaire décrit au point 7 et compte tenu de son évolution prévisible, le souhait du Gouvernement de mettre en œuvre un dispositif de nature à limiter davantage encore que le passe sanitaire » la possibilité pour les personnes fréquentant les lieux et établissements concernés de développer l’infection, afin de freiner autant que possible la propagation d’une nouvelle vague et ses conséquences sur le système de santé, n’apparaît pas inadéquate”.L’objectif [indirect] d’incitation à la vaccination qui découle des mesures gouvernementales est ainsi, pour la première fois, reconnu par le Conseil d’Etat. Conseil, soit dit en passant, qui semble vouloir se suicider en renonçant à ses fonctions de garde-fou juridique pour se convertir en simple caisse d’enregistrement de la toute-puissante volonté gouvernementale. Supermenteurs..... Que dire d’un gouvernement qui depuis le début de son hasardeuse gestion de la crise sanitaire n’a cessé de se contredire et de mentir aux gouvernés ? Quel crédit peut-on encore donner à ceux-là même qui, sans le moindre remords, imposent à sens et à contresens des décisions qui semblent plus nées de l’opportunité politique que d’une vraie volonté de mettre un terme réel à une crise qui décuple leur puissance et leur pouvoir ? En décembre 2020, cela fait à peine un an, Emanuel Macron affirmait “Je l’ai dit, je le répète le vaccin ne sera pas obligatoire. Ayons confiance en nos chercheurs et médecins. Nous sommes le pays des Lumières et de Pasteur, la raison et la science doivent nous guider”. Un an après, exit la science et la raison. Les contraintes du calendrier politique à l’approche des élections semblent peser plus que la recherche du bien commun. Jamais aucun autre président de la cinquième République n’aura réussi à diviser autant le pays crise sanitaire n’est plus. Le taux de mortalité des variants du Covid-19 est aussi faible et banal que celui d’autres maladies chroniques. Comment expliquer, si crise il y avait, que le Gouvernement n’ait pas créé des lits supplémentaires, installé des hôpitaux de campagne et qu’il se soit même permit de luxe de renvoyer plus de 15 mil infirmiers, aides-soignants et médecins qui n’acceptaient pas le principe de la vaccination obligatoire ? Il est bien que des mesures urgentes, motivées par l’urgence réelle, soient adoptées en période de crise. Mais que dire d’une crise qui dure depuis deux ans, si ce n’est que sa gestion est calamiteuse ? Peut-on continuer a accepter, en hochant bêtement la tête, que nous sommes en crise ? Ne faudrait-il pas plutôt considérer que nous sommes en décadence ?Le rêve d’un peuple soumis et obéissant, est en train de prendre forme devant nos yeux ouverts. Le Grand Songe de Lénine, de Mao, d’Hitler, de tous les dictateurs de l’histoire, le songe de domination et de puissance est désormais à portée de main de n’importe quel apprenti-dictateur assistons depuis deux ans maintenant à un sabotage de nos libertés individuelles, base de toute société démocratique, jamais vu en Occident. Si nos gouvernants avaient un peu de décence et de respect pour la parole donnée au peuple au moment de leur élection, ils devraient assumer leur échec, reconnaitre leurs mensonges, demander pardon à leurs citoyens et remettre leurs démissions de toutes les fonctions qu’ils n’ont pas su honorer. L'incompétence gouvernementale et l'invention des nouveaux pestiférés les non-vaccinés Mais cela n’arrivera pas. Le gouvernement préfèrera, sans doute, endosser la chemise du Comité de Salut Publique et, au nom de “l’objectif de santé publique”, il nous fera encore et encore avaler toutes les aberrations juridiques lui permettant de rester en place. Il n’est pas exclu, dans leur cécité idéologique, qu’une guillotine soit dépoussiérée et montée à nouveau sur une place parisienne pour y conduire les opposants à la troisième et suivantes doses des vaccins. Il est pour le moins paradoxal que, sous couvert de santé publique, le gouvernement renvoie à la mort sociale toute une partie du pays. Le gouvernement sait que dans sa croisade vaccinale il peut compter avec la servilité des membres du Conseil dEtat, du Conseil Constitutionnel et de toutes les autres institutions à sa botte pour valider sa volonté. Nous avons bien vu que très peu de juges, sans doute craignant pour leur avancement et leur carrière, on dédit ce qui a été validé par les Hautes Juridictions. La servilité des hommes de lois est aussi à rechercher du côté de la voix silencieuse des ordres professionnels des avocats et autres corporations. Pas un seul bâtonnier en France n’a, à notre connaissance, osé lever le ton face au pillage institutionnalisé des libertés mansuétude serait-elle donc la seule vertu républicaine ? A force de ne pas faire usage de notre liberté nous courons le grand risque de la voir disparaître. Nous sommes les héritiers d’une civilisation qui a su conquérir sa liberté au prix d’efforts, de sacrifices, de renoncements, de guerres et de peines. Allons-nous laisser dépérir notre héritage par soucis de confort et de servilité ?Nous disions tout au début que le sort qui risquait de nous être réservé était celui des pestiférés. Il est encore pire que cela. Les pestiférés du Moyen-Age pouvaient encore compter sur les mains d’un roi guérisseur et sur la bienveillance et la douceur d’un Saint-Louis. Nous sommes, pauvres Français du XXI siècle, condamnées à entendre encore pour de longs mois les propos abscons d’un pauvre type comme Castex qui croit devenir un homme d’Etat en nous expliquant que dorénavant il faudra boire sa bière au bar assis et non pas est savoureuse le gouvernement préfère les Français assis et serviles à ceux qui sont debout et temps est venu de se débarrasser de ceux qui nous asservissent et de lutter pour reconquérir nos libertés perdues. 21 commentaires Pour trouver des propos aussi abjects que ceux du sinistre de la Santé sur une population stigmatisée, comparée à “un magma de personnes enkystées”, il faut aller faire son marché chez Goebbels. Hâte de voir ces pourris tombés pour leur crime. Je pense qu’ils auraient tout intérêt à ce qu’il reste des non-vaccinés sinon ils ne pourront plus accuser personne. On verra quand les vaccinés se réveilleront avec une gueule de bois sévère quand ils découvriront les mensonges délibérés du gouvernement dont les membres se rejetteront mutuellement la responsabilité et seront lâché par Davos et toute la clique mondialiste. C’est vrai, mais je mettrais un s’ à leur crime’ qui deviendrait donc leurs crimes’ et, j’irais même plus loin en disant leurs innombrables crimes, et plus encore leurs innombrables et monstrueux crimes car, comme l’a écrit Claire Séverac dans son dernier livre, à savoir La guerre secrète contre les peuples, en sous-titre il y a “Ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu’ils font’. Et moi j’ajoute c’est eux qui ne s’en sortiront pas. Bonjour , j’ai lu le livre de Claire Séverac deux fois, la première au tout début de la “pandémie” et la deuxième il y a 3 semaines. Parmi mes lecture également les livres de Pierre HiIlard qui à préfacé le livre de Mme Severac, Valérie Burgault…etc A la lumière des événements qui se sont déroulés depuis 1 an, je dois avouer que la lecture à une tout autre saveur….elle avait vu juste et nous a prévenu de tout les événements qui sont entrain de se produire. Il ne faut pas louper les dernières pages du livre qui proposent quelques solutions. A lire egalement A l’origine de la pensee grecque Jp Vernant chapitre sur la crise de la cité. Merci en effet je suis en train de le lire, seulement par petits bouts, car les bras m’en tombent à chaque fois que je découvre à quel point certains sont des crotales .. Quant aux vaccinés, moi je n’arrive pas à leur faire arrêter la drogue même ceux qui sont conscients du piège, s’arrêtent au seul fait de la mauvaise gestion politique, concernant les effets secondaires, c’est de la science fiction, me dit un ami proche… C’est bizarre, tous les gens que je côtoie ne sont pas vaccinés. On nous mentirais sur le nombre réel de vaccinés 1, 2, 3 doses ? Serions nous des millions , rejoints par les allergiques. à la troisième piqouze ? Pour ma part, les non vaxx dans mon entourage se comptent sur les doigts d’une main… Malheur ! Vous devez habiter un endroit plein de “mougeons” ;car entre les “sang- purs” et les picousés qui ont pigé ; nous représentons environ la moitié de la population ; c’est bien pour ça que les pseudo élites paniquent et s’agitent autant ! comment pouvez vous affirmer cette chose là svp, car moi aussi entouré de piquousés dans le sud .. Je vis dans un milieu de neo ruraux, et je peux vous garantir qu’ils sont tous vaccinés se vantant meme d’avoir exiger que leurs petits enfants le soient! Comble de l’abjection, perte totale de la decence et de la morale je suis persuadée que vax et non vax recoupe le clivage de France d’en haut et France d’en bas pour les ideologues evidemment pas ceux des vaccines qu’ils l’ .ont ete “corde au cou et pied au cul” Non la guillotine ne sera pas dressée, les non vax seront manu militari envoyés en résidence en HP et piquousés d’office avec le “vaccin” et d’autres produits… Je ne pense pas que tous les non vax seront exterminés. De plus un vaxx d’aujourd’hui peut potentiellement devenir un non vaxx de demain s’il ne reçoit pas sa dose. Être vacciné ad vitam eternam ne sera jamais possible. Il semblerait que vous connaissiez l’avenir ; alors ; regardez mieux et venez nous raconter ! Je ne connais pas l’avenir , mais par déduction logique, la société dans laquelle on veut nous enfermer n’est pas vivable et viable sur le long terme. Simple logique. Oh oui, il est grand temps de se débarrasser de ces malfaisants dont le credo est The Great Reset ! Des deux seuls Grands Ennemis de la race-humerde que sont l’orgueil et la recherche perpétuelle du Confort découlent la lâcheté, donc la servilité la disparition du discernement et la lucidité. Vous laisser berner à des multi-vaccinations pour aller au bistrot au restau aux spectacles, au prix de votre seule réelle richesse la santé, eh bien il faut être sacrément CON pour aimer se faire mettre à ce point. Ceux qui s’y sont soumis, par leur bêtise crasse portent la lourde responsabilité, de par leur nombre, d’entraîner le reste dans le gouffre de l’asservissement. Mes deux grands-pères ont hélas et tant mieux fait la 1ere guerre mondiale, mes parents ont comme nombre d’autres français et européens pris des gros risques pour lutter contre ce fou d’Hitler et ses sbires. Tant de sacrifices et de choix courageux balayés à cause d’un petit BRANLEUR de médiocron président risquent de disparaître parce que, franssais de pacotilles, en plus de vous mettre la carotte dans le cul on vous la met dans l’assiette du restaurant ou les paillettes des spectacles débiles cons vous sert à toutes les sauces. Petits franchouillards de bas de gamme, abrasés corticaux et amputés des couilles du cerveau, vous avez gagné vos galons de couards et vos colliers d’esclaves soumis. Au passage, il fait couac l’insoumis de pacotille admirateur du Vénézuela figure incarnée de la raie-pue-blique à part du bruit et du vent avec sa grande gueule ??? tous le nez dans les godasses sauf 1 qui lutte à visage découvert contre les hors-mesures-prétendument-“sales”-nitaires ! nos politiciens sont des gens qui NE SERVENT A RIEN ! juste des opportunistes. De quel droit mettez-vous nos vies en DANGER, malades mentaux, tricheurs, ignards ??? “Aucun gouverne-ment ne résisterait à 2 mois de vérité.” L-F CELINE. “Citoyens, tous les ennemis de la république sont dans son gouvernement.” Saint Just. “L’Etat est gouverné par le rebut de toutes les carrières honorables?” George Duhamel. “L’Etat ment dans toutes les langues du bien et du mal, dans tout ce qu’il dit, il ment, et tout ce qu’il a, il l’a volé.” F. Nietzsche. “Que nous devions obéir à toutes les lois, bonnes ou mauvaises, est une invention nouvelle.” GANDHI Brigitte, largue le ce con ! maintenant que tu as vu ce qu’il est vraiment ! Ne serait-il pas temps de commencer à rechercher les rétro commissions versées aux politiques et aux médecins de plateaux??? Les sommes doivent être telles que ça doit commencer à se voir un peu, non? Personne n’est vraiment au courant ? Étonnant, non? Et on pourrait aussi recommencer à s’intéresser au fabuleux destin du fils Fabius ? Le plus triste, c’est de voir tous les lâches, les poltrons et collabos redemander du poison à leur maître macron le fossoyeur assisté de son bouffon castex … Mais nous devons encore résister, les effets secondaires arrivent !!! Puis viendra le temps d’accrocher les criminels aux grilles de l’Elysée …. NON à la piqûre de la MORT !!!! Déjà dit mais deux fois valent mieux qu’une cette parodie de juridiction devra disparaître séance tenante dès que nous nous serons débarrassés de la nauséabonde clique qui, sous prétexte sanitaire, nous empoisonne la vie depuis deux ans. A dégager vite fait dès que possible ! Laisser un commentaire Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Dans une famille dysfonctionnelle, faire d'un enfant le bouc émissaire aide un parent à minimiser sa responsabilité et à imaginer que la famille est en meilleure santé qu'elle ne l'est.....6 MAI 2021 Lecture min. Dans le cas de violence verbale, le sujet du bouc émissaire revient avec une grande régularité ; parmi les formes de violence verbale utilisées par les parents, le bouc émissaire semble avoir un statut privilégié. Dans une famille avec un parent contrôlant, combatif ou narcissique à la barre, le bouc émissaire est un outil efficace pour garder le contrôle non seulement sur les interactions et les comportements des membres de la famille, mais aussi sur le récit familial. Comme l'a souligné le chercheur Gary Gemmill, le bouc émissaire permet à un parent de penser que la famille est en meilleure santé et fonctionne mieux qu'elle ne l'est en réalité ; s'il n'y avait pas cette seule personne - oui, le bouc émissaire - la famille serait parfaite et la vie serait heureuse. C'est un point important car il aide le parent à organiser le récit familial d'une manière très spécifique. Une autre étude de Zachary R. Rothschild et d'autres études ont permis de montrer que le bouc émissaire permet à une personne de minimiser la culpabilité ou la responsabilité d'un résultat négatif et lui donne un sentiment de contrôle accru car il y a toujours une raison de pointer vers un mauvais résultat. L'exemple que j'utilise souvent est la voiture familiale qui est vandalisée la nuit alors qu'elle est garée dans l'allée. Si cela vous arrivait, vous pourriez être inquiet ou même appeler la police, mais vous risquez de le considérer comme un incident aléatoire. Mais le parent qui est habituellement des boucs émissaires ne l’abordera pas de cette façon ; au lieu de cela, il ou elle se concentrera sur le fait que Jack a conduit la voiture en dernier et qu'il ne l'a pas verrouillée, ce qui a rendu le vandalisme tellement plus facile. De plus, Jack n’a pas allumé les lumières qui éclairent l’allée et l’entrée, ce qui a donné aux vandales le couvert de l’obscurité. Voila ! Dans le récit organisé par la famille, Jack est en fait responsable du vandalisme de la voiture. C'est ainsi que fonctionne le bouc émissaire. Qui devient le bouc émissaire ? Dans certaines familles comme celle de Tim, le rôle de bouc émissaire tournait, ce qui permettait à son père de faire passer son message avec force L'échec était inacceptable. Répondre était une trahison. Le fils qui n’écoutait pas devenait alors le bouc émissaire jusqu'à ce qu'il se réforme et comprenne le message», puis le prochain paresseux deviendrait la cible. Cela a duré de l'enfance à la première décennie de l'âge adulte jusqu'à ce que je mette enfin les voiles. » Dans de nombreuses familles, le bouc émissaire est un rôle permanent, comme c'était le cas chez Alisha "Mon frère du milieu, Tom, était le bouc émissaire parce qu'il a répondu et a résisté aux manipulations de ma mère. C'était ironique à côté de nous quatre, car il était le plus performant - il était athlétique et avait de bonnes notes - mais ma mère ne pouvait pas gérer le fait qu'elle ne pouvait pas le contenir comme elle le pouvait moi et mes deux frères et sœurs plus jeunes. Le reste d'entre nous s'est fait rare et a dit le moins possible, en essayant de rester aussi neutre que possible pour qu'elle ne se retourne pas contre nous. Tom a quitté la maison à 18 ans, s'est inscrit à l'université, puis à la faculté de droit, et a cessé de parler à nos parents il y a 10 ans. Il doit être le mouton noir le plus prospère de l'histoire. Je le vois toujours, mais ma sœur et mon frère ont trop peur, même à l'âge adulte, de faire chier ma mère. Même si je n'étais pas un bouc émissaire, j'ai des tonnes de problèmes auxquels je fais face en thérapie. J'ai passé toute mon enfance sur la défensive. Contre-intuitivement, vous n’avez pas besoin d’un troupeau pour devenir un bouc émissaire ; les enfants seuls peuvent aussi être des boucs émissaires. Voici ce que Dora a raconté Dans le récit de ma mère, tout ce qui a mal tourné dans sa vie peut être retracé jusqu’à moi. C'est ma naissance qui a éloigné mon père d'elle et a fini par demander le divorce. Ce n’est pas l’histoire que raconte mon père, bien sûr, et j’avais 7 ans quand il est parti. Elle ne s'est jamais remariée parce que personne ne voulait une femme avec des bagages, les bagages étant moi. Cela pourrait être drôle puisque papa a épousé une femme avec deux enfants, mais elle ne voulait pas dire que c'était une blague. Idem pour son travail et pourquoi elle n'a jamais gravi les échelons. À 30 ans, je suis entré dans le bureau d'un thérapeute et j'ai fini par confronter ma mère qui a nié l'avoir jamais fait. Comme mon thérapeute l'a souligné, elle est passée du bouc émissaire à gaslighter. Je maintiens un faible contact ces jours-ci, mais je me dirige vers l'éloignement parce que son incapacité à s'approprier ses actions ou ses paroles me rend dingue. Le fait de ne pas assumer la responsabilité est l’avantage du bouc émissaire. Comment le bouc émissaire est-il choisi ? Bien que la science éclaire ce qui motive l'agresseur à devenir bouc émissaire, il n'y a pas de recherche sur la façon dont la cible est choisie, donc j'ai tiré des centaines d'histoires partagées avec moi pour proposer des modèles totalement non scientifiques qui peuvent néanmoins être intéressants. Certains d'entre eux sont plus évidents que d'autres 1. Le résistant ou le rebelle Étant donné que tout abus verbal est une question de contrôle et de déséquilibre des pouvoirs, il n’est pas surprenant que l’enfant qui ne suivra pas le programme - quel que soit ce programme - soit choisi et marginalisé pour cela. Ce modèle fait écho à l'histoire qu'Alisha a racontée à propos de son frère, Tom, et peut également être à l'origine du rôle de bouc émissaire en rotation dans d'autres familles. 2. Le sensible Le bouc émissaire et l'intimidation ont des intentions similaires, et chacun donne à l'agresseur une poussée de pouvoir ; ce sera beaucoup plus satisfaisant si l’enfant que vous choisissez répond et réagit vraiment. De plus, cela permet au parent de rationaliser le bouc émissaire comme étant nécessaire pour endurcir l'enfant» ou pour arrêter d'être trop sensible». Cela arrive à la fois aux fils et aux filles et apparaît comme un modèle fort dans de nombreuses familles, malheureusement. Les autres enfants font ce qu'ils peuvent pour réprimer toutes leurs réactions émotionnelles, ce qui les protège mais cause un autre type de dommage. 3. L'intrus J’en suis venu à constater que, surtout avec les mères qui sont des boucs émissaires, penser qu’un enfant est une anomalie/intrus dépend généralement de la qualité d’ajustement de la mère ; l'enfant est suffisamment différent d'elle-même et de ses autres enfants pour que les compétences parentales qu'elle possède soient complètement dépassées, et elle réagit en rejetant la culpabilité sur l'enfant. Dans le récit familial, cet enfant porte généralement le fardeau de la responsabilité du fait que le foyer est difficile à gérer ou de tout autre problème que la mère pourrait rencontrer. 4. Le rappel Cela se produit le plus souvent avec les enfants du divorce qui ressemblent ou agissent comme l'ex-conjoint d'un parent, mais cela arrive aussi avec ceux de ménages intacts dans lesquels l'enfant ressemble soi-disant à un parent de la famille qui n'est pas aimé , détesté, ou est un mouton noir ou une combinaison de tous. Elle peut être exprimée ouvertement - Tu es comme ton père, irresponsable et paresseux» - ou secrète, comme ce fut le cas pour Dina, qui se trouve être une psychologue "En tant qu'enfant, je ne pouvais pas comprendre pourquoi j'étais toujours à blâmer et ma sœur était toujours fabuleuse. J'étais une élève hétéro, très performante, et ma sœur n'était rien de tout cela. Mais il y avait de l'histoire. Mon père a commis le péché de quitter ma mère et de se remarier heureux. J'ai commis le péché de lui ressembler - grand, mince, brun et intellectuel. Ma sœur est le clone physique - blonde et petite - et pas trop sérieux de ma mère. Il a fallu la thérapie qui faisait partie de ma formation pour voir l'éléphant dans le salon. Le bouc émissaire est un abus verbal, peu importe comment il est normalisé ou rationalisé. Et peu importe la manière dont les parents choisissent leurs victimes ; il importe seulement qu'ils le fassent. Photos Shutterstock Les informations publiées sur ne se substituent en aucun cas à la relation entre le patient et son psychologue. ne fait l'apologie d'aucun traitement spécifique, produit commercial ou service.

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